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Partage d'écriture

3 Rêve ou realité

 

 

            Toute la maisonnée était silencieuse, chacun dormait, chaque pièce avait était rangée avant d’aller dormir, la vaisselle avait retrouvé sa place dans les placards, le seul point qui différentié d’une autre nuit banale, était le clignotement irrégulier des guirlandes lumineuses dans le sapin. Le feu de la cheminée commençait même à faiblir, s’atténuer, prêt à s’endormir à son tour, avant d’être réactivé au petit matin. Mais tout à coup un bruit inhabituel vint bouleverser cette quiétude. Ce n’était pas un bruit inquiétant, plutôt un grattement. Mais d’où venait-il ? pas de la cuisine, pas de la salle à manger, pas du couloir ni de l’étage. Non il venait bien du salon. Pourtant rien ne bougeait. Puis tout à coup le feu s’éteignit complètement, une paire de jambe dépassa en haut du manteau de la cheminée, puis le torse et enfin l’intru descendit de l’âtre et se posta juste devant la cheminée. Ce n’était pas un enfant. Il en avait pourtant toutes les caractéristiques. La taille, la morphologie, les trait du visage, même son accoutrement pouvait laissait croire à un enfant déguisé. Une paire de chaussures, ressemblant à des babouches, mais englobant totalement le pied et avec un grelot sur la pointe. Un pantalon vert sapin, découpé en triangle au bas des jambes, une tunique multicolore, elle aussi terminée en pointe sur le bassin, et pour surmonter le tout il portait un chapeau pointu rouge, avec un pompon et une bande de fourrure blanche a sa base. Le personnage regarda autour de lui, puis se penchât sur la cheminé et chuchota :

 

            -La voie est libre vous pouvez venir !

 

Cette fois ci c’est un bruit plus sourd qui se fit entendre, des jambes et un torse beaucoup plus massif dépassèrent alors du manteau de la cheminée. Et en quelques secondes un homme se tenait debout près de son complice. Il était plutôt grand, assez grassouillet, une barbe longue, touffue toute blanche, comme sa chevelure en bouclette. Il portait des bottes noires surmonté de fourrure blanche, un pantalon rouge, une veste rouge avec des fourrures blanches, et comme son comparse un bonnet pointu rouge avec un pompon blanc. Une fois l’un a coté de l’autre on ne pouvait plus se tromper. C’était bien lui. Le Père Noel et son elfe. Le père Noel regarda tout autour de lui et dit à son compagnon :

 

            -Nous sommes bien chez la petite Laly ! j’espère que personne ne nous a entendu car nous avons fait une peu de bruit !

            -Ne vous inquiétez pas père Noel, tout est silencieux, ils dorment !

            -Alors au travail ! dit-il dans un soupir.

 

Il se rapprocha de la cheminée, introduisit son bras dans le conduit, et en ressorti sa hotte. Il la posa près du sapin et commença à sortir les cadeaux qu’elle contenait avec l’aide de son elfe.

Pendant ce temps à l’étage, Laly se tourna dans son lit, et se retourna de nouveau, pour finalement ouvrir les yeux. Elle jeta un regard sur son réveil, il était trois heures deux, il fallait donc se rendormir. Mais la jeune fille décida d’aller prendre un verre de lait avant de refermer les yeux. Elle descendit donc de sont lit, se rapprocha de la porte, l’ouvrit, pris le chemin de l’escalier dans le couloir, et descendit sans faire de bruit pour ne réveiller personne. Une fois en bas des marches elle prit la direction de la cuisine. Ce qui la faisait passer devant le salon. Après quelques pas elle se trouva devant les portes ouvertes de celui-ci. D’abord elle fut surprise par des chuchotement, puis par les ombres qu’elle apercevait. Comme elle sortait tout juste de son sommeil sa vue n’était pas tout à fait au point. Elle se frotta les yeux. Oui il y avait bien deux hommes dans le salon.

 

            -Mais qui êtes-vous ? lança la jeune fille avec surprise mais sans peur !

            -Ho ! zut ! Lança l’elfe

            -Bonjour Jeune Laly, Nous ne voulions pas te réveiller. Je suis le Père Noel et voici Mon bras droit, l’elfe Orfin.

            -NON ! sans rire, vous êtes vraiment le Père Noel ? Demanda la fillette les yeux tout écarquillés !

            -Habituellement nous sommes plus silencieux, et il est très rare de réveiller un enfant pendant notre tournée. Mais je fatigue un petit peu et je deviens moins prudent.

            -Voulez-vous vous asseoir quelques minutes dans notre canapé ?

            -Ho oui avec plaisir ! répondit Orfin sans laisser le temps au père Noel de répondre.

            -Voyons Orfin, nous avons du travail qui nous attend, et nous ne pouvons pas abusée du temps de cette jeune fille. Répondit le Père Noel d’un ton las.

            -Vous ne me déranger pas bien au contraire, je serais enchantée de pouvoir bavarder avec vous. Ils s’installèrent donc tous les trois dans le canapé. Laly s’empressa de prendre l’assiette, toujours posé sur la desserte, et proposa les biscuits quelle contenait au Père Noel.

            -Non merci ma petite chérie je n’ai pas très faim.

            -Oui vous avez déjà dû en manger des tas ce soir avec tous les cadeaux que vous déposé dans les maisons.

            -Et bien figure toi ma petite Laly, que tu es la première a m’en proposé ! répondit le vielle homme d’un ton légèrement triste.

            -Sa c’est parce que je suis la première enfant à me réveiller ! Lança la fillette pleine d’optimisme.

            -Ce n’ai pas tout à fait ça ! dit-il dans un soupir.

            -Non en fait se sont les enfants qui ne mette plus de biscuit ! déclara soudain Orfin.

            -Ils pensent surement que tout le monde doit vous en déposé.

            -Ce qu’il y a ma pauvre Laly, c’est que les enfants ne pensent plus à moi. Ho bien sur ils sont ravis de découvrir leurs cadeaux, le matin au pied du sapin, mais je ne reçois quasiment plus de lettre, et encore moins de verre de lait lors de ma tournée. L’époque change et je ne sais pas si j’y ai encore ma place !

            -Père Noel je vous l’ai dit, je suis sûr que sait parce qu’il y a, de plus en plus d’enfant pas sage ! Dit Orfin

            -Non mon cher ami, je suis un peux dépasser, trop vieux peut être, en tout cas c’est un fait !

            -Voyons Père Noel, vous ne pouvait pas être trop vieux puisque vous êtes immortel !

            -Et moi je suis sûr que tous les enfants pensent à vous ! déclara soudain Laly. Avec mes amis Clémentine et Valentin nous vous envoyons une lettre chaque année, et tout le mois qui suit nous parlons de vous, et de ce que vous allez décider de nous offrir.

            -Oui, tous les trois vous faites partis des lettres d’enfants que je reçois dans les premières. Elles sont toujours accompagnées de douce parole de bienveillance, et de gentillesse à mon égard.

            -Vous voyez vous vous faite du mauvais sang pour rien. Et grasse a vous demain matin des millions d’enfants seront émerveillé en ouvrant leurs cadeaux.

            -tu a raison ma petite Laly, d’ailleurs si je veux terminer ma distribution dans les temps, il faut que nous repartions.

 

Ils se levèrent du canaper, Laly embrassa Orfin et fit un énorme câlin au Père Noel avant de retourner dans sa chambre. Celui-ci termina de déposer ces paquets au pied du sapin de la famille de Laly, puis ils se dirigèrent vers la cheminée d’où ils furent, comme aspiré dans un silence complet. A peine avait il disparut que le feu repris tout seul dans la cheminée. Le silence de la nuit était de retour dans la maison. Laly s’était remise dans sont lit, tout en repensant a l’incroyable rencontre quelle venait de faire. Un coup d’œil à son réveil, il n’était que trois heure cinq. Il lui s’emblais pourtant avoir passer beaucoup plus de temp en bas. Son réveil devait être en panne, la pille était surement trop vielle ou même complètement usagée. Avec le sourire jusqu’aux oreilles, comme si elle venait de vivre la plus belle chose de sa vie, Laly s’enfonça dans son lit et s’endormi.

 

            Dans le froid hivernal de ce dimanche matin, l’aube pointé le bout de sont nez. Le ciel était extrêmement clair ce qui expliquait les températures négative. Dans les rues du petit village de Provence tout était encore silencieux. Seul le boulanger était déjà debout pour préparer, ces pains, ces viennoiseries, et surtout ces buches que viendrait chercher ces clients tout au long de cette matinée du 25 décembre. Les premiers rayons de soleil était sur le point d’éclaircir les petites rues de Peynier. Ce qui signifier que les enfants les plus mâtineaux, ou bien les plus impatient, aller quitter leurs lit, s’assuré que le pied du sapin avait été garnis pendants la nuit, puis sans ménagement aller réveiller leurs parents afin de pouvoir découvrir ce que cachait le papier cadeau. Chez notre amie Laly, le même manège se préparé. Cela faisait déjà trois ou quatre fois qu’elle se retourné dans sont lit quand elle ouvrit les yeux. Sont premier reflexe fut de regarder sont réveil, il indiqué huit heures douze. Elle sauta de sont lit pour aller voir dans le salon. Mais a mis chemin elle s’arrêta net. Le souvenir de sa rencontre de la nuit lui revint aussitôt en tête. Mais aussi une sensation bizarre, un détail était étrange. Son réveil. Elle rebroussa chemin pour vérifier l’heure qu’il indiqué. Elle rentra dans sa chambre posa son regard sur l’appareil il y était noté huit heures treize. Elle se rapprocha alors de sont bureau, ouvrit le premier tiroir et en ressorti sa montre pour y vérifier l’heure. Elle indiqué également huit heures treize. Mais alors que c’était-il passer cette nuit ? Avait-elle rêvé, ou avait-elle réellement rencontré le Père Noel ? Le doute s’installa dans sa tête. Après tout j’aurais bien le temps de repensé a tout sa plus tard. Ce dit elle ! Puis elle ressortie de sa chambre, en direction de celle de son père, pour le réveillé. Elle ouvrit la porte, s’approcha du lit, se pencha vers son père et l’embrassa. Il bougeât légèrement mais ne se réveilla pas. La fillette décida d’employer les grands moyens.

 

            -Papa ! Dit-elle doucement sans trop de succès. Papa Le jour s’est levé il est temps d’ouvrir les cadeaux ! dit-elle cette fois un brin plus fort.

            -Hmmm !? murmura son père encore endormi.

            -C’est Noel le jour est là il faut se lever !

            -A bon, tu es sur ? Car moi sur mon calendrier je suis sûr que noël est déjà passer ! répondit-il avec une voix embrumée mais un air malin pour taquiner sa fille.

            -Si tu ne te lève pas, je saute sur toi dans le lit ! répondit-elle avec autant de malice. Et ils éclatèrent de rire tous les deux.

            -Tu as gagner je descends !

 

A peine la phrase de son père terminé, la fillette sortie de la chambre pour se diriger vers celle de sa nourrice. Elle entra sans frapper, chose quelle ne faisait pas habituellement, mais aujourd’hui était un jour spécial. Becky était déjà assise sur son lit et l’attendait. Laly embrassa la jeune femme, lui pris la main pour l’attirer vers le salon. L’escalier descendu, elles traversèrent le couloir, et une fois dans la pièce elle demanda à sa nourrice si elle avait mis le cadeau de son papa sous le sapin. Becky lui montra le paquet posé sur la droite sous le sapin. Rassuré elle se mis à examiner tous les autres. Ils étaient tous diffèrent, des petits, des gros, des carrés, des rectangles, mais le quelle était le sien ? Jules entra dans le salon et souris en voyant sa fille s’extasier devant tous ces paquets.

 

            -Alors ? dit-il. Y en a-t-il un pour toi ou sont-ils tous pour moi ?

            -Tu sais que tu es très drôle ! répondit ironiquement Laly ! de toute façon tu es trop vieux, le Père Noel ne te donne plus de cadeau ! et toc !

            -Mais détrompe toi, quand on a toujours été sur la liste des enfants sage, on a continuellement doit à un cadeau.

            -Il ce pourrait bien que tu aies raison. Rebondit malicieusement la fillette. Jules s’arrêta interdit. Regarde ce paquet carré, sous le sapin à droite, ont dirait bien qu’il est pour toi !

Surprit, et pris de court, Jules ne sus que répondre. Il s’avança donc vers le sapin, et plongea sa main vers la droite jusqu’au paquet en question. Le prit et confirma qu’il lui était destiné.

 

            -Ben ouvre le ! dit Laly pleine d’excitation.

Jules déchira doucement le papier qui découvrit une boite en carton joliment décoré. Il posa le papier, et soulevât délicatement le couvercle qui laissa place à une magnifique boule de noël dans un joli bocal a bonbon. Emerveiller par ce présent il leva les yeux vers sa fille, fière et souriante !

 

            -Joyeux Noel papa ! Lui lançât elle toute réjouis.

            -Merci ma chérie c’est vraiment magnifique. Mais comment a tu fais ça !

            -Ho ! je n’aurais jamais réussi sans l’aide de Becky. Dit fièrement la fillette. Jules se tourna vers la nourrice, et la remercia. Elle rougie légèrement, et lui répondit que c’était normal.

 

            -Es que je peux ouvrir les miens maintenant ?

            -Bien sur mon cœur ! répondit Jules avec un sourire amusé.

 

Laly s’approchât à son tour du sapin, et commença a examiné les paquets. Elle fut immédiatement attirée par celui recouvert de papier rose avec des licorne. Le pris dans ces mains, reconnu son prénom sur l’étiquette. Elle le posa à l’écart des autres, et retourna à la chasse. Au bout de quelques minutes elle était à la tête d’une pille de trois cadeaux. Maintenant il fallait faire un choix. Lequel ouvrir en premier ? Il y en avait un petit, rectangulaire, recouvert de papier bleu étoilé, un d’au moins trente centimètres sur vingt, mais presque plat, recouvert lui de papier rouge et vert avec des décor de noël, et le fameux rose recouvert de licorne. C’est part ce dernier qu’elle décida de commencer. Elle fut beaucoup moins délicate avec le papier que l’avais était son père. Alors que les licornes, enveloppées de rose étaient étendues sur le sol, elle tenait entre ces main le dvd du film la reine des neiges.

           

-Ouais !! exactement ce que j’avais demandé ! s’écriât-elle avant de le posé, pour prendre le rouge et vert aux décors de Noel.

 

Le paquet fut développé avec autant de rapidité, mais pas plus de délicatesse que le précèdent. Elle tenait maintenant dans ces main le dernier opus des aventures de Veronica, sa princesse préférée. Elle avait gardé le plus petit pour la fin, il était rectangulaire, relativement léger, et tenait dans la paume de sa main. Es l’effet de la taille, ou bien une baisse d’excitation du fait que ce soit le dernier. Toujours et il qu’elle l’ouvrit avec plus de délicatesse. Le papier ne fut pas arraché, mais ouvert avec douceur. Une fois enlevé on aperçut une petite boite de dix centimètres sur quatre. Laly ouvrit le couvercle avec finesse et pus enfin découvrir un magnifique bracelet or, en maille fine surmonté de perle blanche.

 

            -Ho ! Papa ! merci, c’est exactement le même qu’avait maman ! s’exclama la jeune fille, la voie pleine d’émotions. Elle se levât et pris son père dans les bras. L’étreinte fut intense et remplit d’amour.

            -Bon et si nous passion au petit déjeuner ? Lança Becky, une larme à l’œil !

            -Ben ! tu dois ouvrir ton cadeau avant ! Rétorqua la fillette.

 

Surprise par la réplique de sa protégée, Becky resta figé. N’étant que nourrice, récemment arrivée dans la famille, jamais elle ne se serait imaginé recevoir quoique ce soit. Elle se retourna vers la fillette qui lui souriais avec ravissement. La gêne grimpa en elle, et ces joues devinrent plus rouges que jamais. Laly se rapprochât du sapin attrapa le plus gros paquet qu’il rester, et le tendit à sa nourrice. Emue elle le prit, le posa et commença à l’ouvrir. Le papier fut enlevé avec délicatesse mais rapidité. Elle se trouver maintenant devant une boite en carton, elle souleva le couvercle, et reconnue tout de suite l’étoffe grise moucheter de noir, quelle avait remarqué dans une vitrine du centre-ville de Gardanne quelques semaine plus tôt. Becky le sorti de sa boite, et déplia le fameux manteau. Solliciter par la fillette, elle l’essaya !

 

            -Tu est belle, il te va super bien !

            -Merci ma chérie, c’est vrai qu’il est magnifique, jamais je n’aurai pensé le porter un jour. Je vous remercie, vraiment, du fond du cœur ! dit elle a l’adresse de Jules.

            -Il n’y a pas de quoi, comme je disais tout a l’heure, vous devait être sur la liste des enfants sage, donc vous avez reçu un cadeau.

 

Dit-il avec malice. Pour faire passer les émotions, ils posèrent leurs présents et ce dirigèrent vers la cuisine pour prendre le petit déjeuné. Des Brioches, des biscuits de noël, des céréales, des fruits, du jus d’orange, tout était prévu pour que ce soit un très beau et bien garnis petit dej. Jules pris un bol de café, Laly et Becky, elles, prirent un bol de chocolat au lait. Installés sur la petite table de la cuisine, ils dégustèrent leurs victuailles de Noel. Pendant que son père était occupé à lire ces messages sur son téléphone, Laly se pencha vers la jeune femme et lui dit avec beaucoup de sérieux :

 

            -Apres on vas dans ma chambre j’ai un secret à te dire ! Becky souri et acquiesça.

 

Elle ne savait pas de quoi allait lui parler sa protégée, mais elle savait que sa devait avoir une grande importance pour elle, pour quel lui demande à l’écart de Jules. Elle ne pouvait décrocher ce sourire de son visage qui c’était installé à l’ouverture de son cadeau. Même en creusant loin dans sa mémoire elle ne se rappelait pas un seul jour où elle aurait reçu un cadeau qui lui fasse tant plaisir, et offert avec autant de sincérité. Le petit déjeuné terminé, Laly monta dans sa chambre. Jules et Becky débarrassèrent, et rangèrent la cuisine, puis la jeune femme monta l’escalier pour rejoindre Laly dans sa chambre. A peine sur le pas de la porte, qui était grande ouverte, la fillette lui pris le bras et l’entraina dan sa chambre avant de refermer la porte.

 

            -Cela doit vraiment être très important pour que tu nous cloisonne comme ça ! Lui dit elle amusée.

            -Oui très important ! cette nuit je crois que j’ai rencontré le Père Noel

            -Comment ça tu crois ? tu devrais en être sur une chose pareille.

            -En fait voilà. Je me suis réveillée cette nuit a trois heures deux, et avant de me rendormir je suis descendue pour boire un verre de lait. Arrivé devant la porte du salon je me suis aperçue qu’il y avait du mouvement, qu’il y avait des ombres, j’ai alors demandé : qui êtes-vous ? A ma plus grande surprise c’était le Père Noel et un elfe. Heu il a dit qu’il s’appelé heu, ha oui Orfin. Nous avons discuté mais je l’ai trouvé un peut triste. Il m’a même dit que les enfants ne croyaient plus en lui. Ensuite je lui ai dit au revoir et je suis remonté dans ma chambre, et là avant de me rendormir j’ai de nouveau regardé mon réveil et il était trois heure cinq. Qu’es que tu en pense ?

            -Je pense qu’il doit y avoir plusieurs explications. Sois-tu a fait un rêve, et je dirais que ce serait un très joli rêve. Sois-tu a vraiment rencontré le père noël et vous avez discuté tout les deux, et là se serait merveilleux.

            -Et comment expliquerait tu que je ne sois restée que trois minutes en bas et que sa mais parus au moins trois quart d’heure ?

            -Sa c’est la magie du Père Noel, avec lui le temps ne s’écoule pas de la même manière.

            -Mais oui tu as raison ! sa voudrait dire que j’ai vraiment rencontré le Père Noel !

            -Peut êtres ma chérie, mais souvient toi qu’il y a l’éventualité du rêve. Mais Laly ne l’écoutait déjà plus. Elle était perdue dans ces pensé. Avoir rencontré le père noël était pour elle la plus belle chose qui pouvait lui arriver en ce moment.

Elle passa la plus grande partie de la journée dans sa chambre, soit a admiré son beau bracelet, soit lire son nouveau livre de conte. Becky proposa d’aller faire une balade, ce qui lui permit de porter son beau manteau. Jules, lui, trouva la plus belle place sur la cheminé pour y placer sa boule de neige, puis les accompagna pour la promenade. Le temps était gris mais ni eau ni neige n’étaient annoncées. Ils quittèrent le huit rue des remparts pour rejoindre le centre de la vielle ville par la rue de l’église. Ils firent une petite halte dans la chapelle Saint Julien pour allumer un cierge, se recueillir quelques instants, et reprirent leurs promenade rue E l’Arceau, tournèrent rue du château, puis rue de Provence pour se retrouver, a la boulangerie du château, pour prendre du pain ainsi que le gâteau pour le repas du midi. Ils longèrent ensuite la place Yves Dollo pour se retrouver à nouveau rue des remparts. Une fois la porte du numéro huit franchis, ils commencèrent les préparatifs du repas du midi. Galantine, St jaques a la poile avec fondue de poireau citronnée, rôtie de cerf et petites pommes de terre au four, divers fromages, salade verte et Mousse exotique sur lit croquant. L’horloge du salon sonné midi lorsque arriva Marion. Cette fois ci, après avoir salué Jules et Laly, elle bredouilla un léger bonjour à Becky. Elle était arrivée avec quelques cadeau dans les bras. Une bouteille de whisky pour Jules ainsi qu’un livre de voyage sur Tahiti et un bloc de coloriage pour Laly.

 

            -Je suis désolé Becky je n’ai rien prévu pour vous ! Dit-elle d’un air poli.

 

Ils passèrent une bonne partie de l’après-midi autour de leur repas. La nuit arriva doucement sans que personne ne s’en aperçoive. Trouvant qu’il faisait sombre, Jules alluma les lumières et demanda à Becky de fermé les volets. N’ayant plus très faim ils grignotèrent quelque reste en guise de repas du soir.

 

Marion repartis à 20h pour ne pas ce couché tard et se reposé avant de reprendre le travail le lendemain. Nos trois amis eux s’installèrent dans le canapé pour regarder une énième rediffusion de la pièce, le Père Noel est une ordure ! vers 22h30 ils regagnèrent tous leur lit et purent chacun rêvé à ce merveilleux Noel. Jules se remémora le plaisir de sa fille à préparer le repas, leurs dance du soir et le large sourire au matin en ouvrant ces cadeaux. Mais aussi la surprise et le bonheur de recevoir cette magnifique boule de neige confectionné par la jeune fille. Becky savait qu’elle n’était pas très appréciée par Marion, et n’y prêtait pas attention. Elle savait quel passerait néanmoins un bon Noël, mais jamais elle ne se serait douter recevoir un aussi beau cadeau. Biens des fois, elle était passée devant la vitrine du magasin qui vendait ce manteau, et chaque fois elle le regardait avec envie. Mais n’ayant pas les moyens de se l’offrir, elle c’était fait une raison. Alors quelle surprise, déjà de recevoir un cadeau mais en plus de découvrir le fameux manteau dans la boite développée. Quant à Laly tous se mélangé joyeusement dans sa tête, les préparatifs, la soirée, l’installation des biscuits et du verre de lait, l’ouverture de ces cadeaux mais surtout la joie de son père a la découverte de la boule de noël. Sans oublier bien sur l’étrange aventure de la nuit. Avait-elle oui ou non rencontré le père noël. Plus elle y pensée et plus elle en était persuadée. Rassasier, émerveillé ravie par cette belle journée de partage ils s’endormirent, tous, la tête pleine de belles images.

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