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Partage d'écriture

5 De surprise en surprise

V

De surprise en surprise

 

 

Le soleil prenait déjà une place importante, dans les premiers jours de ce mois d’avril. Les arbres avaient retrouvé leurs feuilles, les fleurs poussaient dans les jardins, les grillons était de retour et l’on avait ranger les pulls et les gros manteaux. Le weekend à venir s’annonçait très ensoleiller. Jules avait promis qu’ils pourraient passer le repas de pâques sur la terrasse du jardin. Ce qui enchanté Laly car ce serait le premier de l’année, et elle adorait prendre ces repas à l’extérieur. Entendre tous les petits bruits de la nature, oiseau, grillon, petite brise dans les feuilles, cigales, même si pour ces dernières, il était un peut tôt. Le vendredi à l’école, toutes les conversations était concentrée sur pâques, et les chocolats que chacun imaginait recevoir.

 

        -Moi l’année dernière j’ai eu un gros œuf de chocolat au lait, une poule en chocolat blanc, un gros lapin en chocolat noir et au lait, un autre gros œuf de chocolat blanc et trois gros sachets de petit poissons garnis de praliné. Se vantait Dylan devant Laly et Clémentine.

-ce n’est pas vrais. Chuchota Clémentine une fois Dylan partis. Valentin m’a dit qu’il n’avait eu qu’une poule en chocolat. Il dit sa juste pour faire son intéressant !

-de toute façon il y a bien longtemps que je ne crois plus tous ce qu’il raconte, il dit toujours des mensonges. Répondit Laly. Et toi que fait tu de beau ce weekend ?

 

        -Je passe le weekend chez mon papa. Nous allons fêter pâques avec Aurore sa copine, elle va nous présenter ces enfants.

        -Tu ne les a jamais rencontrés ?

        -Non sa fait trois ans que mes parents se sont séparé, mais mon père n’est avec Aurore que depuis six mois. Du coup ils ont attendu un peut avant de nous présenter les uns les autres.

        -Et comment ça se passe pour toi avec la copine de ton père ? demanda Laly

        -Sa ce passe bien elle est gentille, elle rigole tout le temps.

        -Tu a de la chance moi avec Marion, je suis persuadé qu’elle fait tout pour que je ne sois jamais la quand elle vient voir mon père. Et quand je la vois elle ne s’intéresse même pas à ce que je peux lui raconter.

        -Réjouis toi ! dit soudain Clémentine avec un grand sourire.

        -Je ne vois vraiment pas pourquoi ? Répondit Laly interloqué.

        -Ben dimanche toutes les cloche partent pour Rome, elle sera peut-être du voyage.

 

Les deux jeunes filles éclatèrent de rire et retournèrent en classe pour terminer leurs exercices de mathématiques. La journée se termina, et Laly fut surprise de voir son père au lieu de sa nourrice, a la sortie de l’école. Jules lui expliqua qu’il avait terminé sa journée plus tôt, et qu’il y avait longtemps qu’il n’était pas venu la chercher. La fillette qui connaissait bien son père, lui dit qu’il avait surement une mauvaise nouvelle a lui annoncé. Jules souris devant la clairvoyance de sa fille, mais lui dit que ce n’était pas une mauvaise nouvelle, mais une information qui risquait de ne pas trop lui faire plaisir.

 

        -Ne me dit pas que Marion vient habiter avec nous à la maison ? S’inquiéta aussitôt la jeune fille.

        -Sa arrivera peut-être un jour, mais non ce n’est pas ça. En fait nous avons fixé la date de notre croisière. Laly fut rassuré mais pas complètement soulagée. L’idée d’être séparé de son père pendant dix jours, ne l’enchanté pas. Nous partirons le 27 Avril et nous reviendront le 6 Mai.

        -Mais sa tombe en plein pendant les vacances !

        -Je sait bien ma chérie, mais c’est le seul moment ou nous pouvions caler, Marion et moi, nos disponibilités. Et de plus, cela nous permet de fêter, notre anniversaire de rencontre, puisque, ca fera un an tout juste le 4 Mai.

 

Laly ne décrocha plus un mot sur le chemin du retour. Une fois rentré, elle refusa le gouté que lui proposa Becky, et monta directement dans sa chambre. Le weekend se passa bien mais Laly n’avait pas le cœur à la fête. Le dimanche elle partis à la chasse aux chocolats que les cloches avaient dissimulée aux quatre coins du jardin, entama la dégustation de l’œuf en chocolats noir, son préféré. Comme promis les repas du weekend se passèrent sur la terrasse ensoleillée. Marion se joignit à eux le dimanche midi. Contrairement a d’habitude Laly eu beaucoup de mal à paraitre courtoise.

 

        -Alors Laly, ton papa ma dit, qu’il t’avait annoncé la bonne nouvelle, nous avons calé la date de notre croisière ?

        -Parce que tu trouves que c’est une bonne nouvelle ? je ne vais pas voire mon papa pendant les vacances ! répondit Laly d’un ton sec.

        -Laly s’il te plait ne parle pas sur ce ton ! Repris Jules

        -Laisse là se n’ai pas grave ce n’est qu’une gamine.

 

La fillette ne décrocha plus un mot du repas, et quand son père proposa, d’aller faire une ballade, pour digérer, elle prétexta des devoirs à finir, et monta dans sa chambre.

Pour une fois Laly n’était pas pressé que les vacances arrivent. Mais le temps en avait décider autrement, et en un rien le dernier vendredi d’école arrivât bel et bien. Même si son père ne partait que dans une semaine, elle pensait passer les pires vacances qu’elle ait connut. Mais c’était sans savoir ce qui l’attendait réellement, car Jules, en secret, avait contacter Isabelle, la maman de Clémentine, et c’était arranger, pour que sa fille, aille y passer plusieurs jours durant son absence. Clémentine n’avait été mis dans la confidence, que la veille, et devait l’annoncer à Laly ce matin. Cette dernière fut surprise par l’annonce de son amie, mais néanmoins ravie.

 

-Les vacances ne seront peut-être pas si catastrophiques que sa finalement, pensa-t-elle.

 

Pour passer un maximum de temps avec sa fille, et qu’elle puisse profiter de lui les huit premiers jours, Jules avait pris deux semaines de congés. Laly avait élaboré tout un programme. Elle souhaitait, aller au cinéma, se balader à Aix-en-Provence, Faire une randonnée pique-nique dans la garrigue, près de la montagne sainte-victoire, et passer une journée au parc d’attractions Ok Corral. Il c’était donc tous les deux installé, le dimanche soir sur la table de la salle à manger pour établir le planning de la semaine. Ils iront donc, au cinéma le lundi, à Ok Corral le mardi, Faire la randonnée le mercredi, et à Aix en Provence le jeudi. Ce qui permettra à Jules de faire ces derniers achats pour son départ du vendredi. Laly était satisfaite de ce programme, car elle passerait beaucoup de temps avec son père, mais en plus ils feraient plein de sortie amusante. Une dernière chose rester à déterminer, quel film aller voir. Ils se connectèrent sur le site du cinéma et regardèrent plusieurs bande annonce. Mais le seul film qui retenu l’attention de Laly c’est, Blanche neige, avec Julia roberts.

 

-Evidement ! s’exclama Jules amusé. Un film avec une princesse j’aurai dû m’en douter.

 

        Becky, qui n’avait pas beaucoup pris de vacances ces dernier temps, en profita pour passer, toute cette semaine à Trets, un village voisin, chez une amie. Le cinéma, et le parc d’attraction passer, Jules et sa fille se retrouvèrent le mardi soir, à préparer le pic nique du lendemain. Ils avaient décidé, de stationner la voiture, près de la réserve naturelle de la sainte victoire, puis de suivre le chemin jusqu’au prieuré sainte victoire. Laly ne se doutait pas, qu’une telle sortie l’épuiserait autant, il ne lui fallu pas plus de 5 minute pour s’endormir ce soir-là. Heureusement ils avaient gardé pour leur dernière journée une simple ballade dans les vieilles rues d’Aix en Provence et de flâner dans les magasins. Le lendemain une fois ces valises bouclé, Jules quitta la maison après avoir longuement embrasser sa fille, et promis que les dix jours passeraient vite. Laly en était moins certaine que son père. Mais Becky avait bien fait les choses, elle avait prévu tout un tas d’activités, jusqu’au mardi, jour ou elle se rendait chez Clémentine jusqu’au vendredi. Cuisine, pâtisserie, activités créatives, ballade, piscine, jeux de sociétés, pas un moment de creux pour que la fillette ne voie pas le temps passer. Et la nourrice eu la confirmation, de la réussite de son stratagème. Car, quand la maman de son amie, appela le lundi soir pour savoir à quel heure Laly souhaitez quelle vienne la chercher, elle s’exclama :

 

        -C’est déjà demain, que je vais chez Clémentine ?!

        -Tu vois que le temps passe vite, quand on est bien occupé. Répondit la jeune femme.

        -Oui, tu as raison, papa me manque mais, les jours passent très vite.

 

        Le reste des vacances filèrent à la même allure, et le dimanche soir arrivât très vite. Même si elle reprenait l’école le lendemain, exceptionnellement Laly ne se couchât pas à vingt heures, mais attendit le retour de son père, qui rentra à vingt et une heure quarante-cinq. Il lui fit un rapide résumé de sa semaine en croisière avec Marion, pour ne pas, qu’elle se couche trop tard, et monta la border.

 

        -Alors c’était si terrible que sa de passer dix jours sans ton papa ? lui demanda t il

        -Tu n’a même pas idée ! répondit-elle d’un air très sérieux. Becky ne savait pas quoi me faire faire, alors j’ai dû regarder la télé tout le temps. Et chez Clémentine, nous avions interdiction de sortir de la chambre, en dehors des heures de repas !

        -Mon dieu quelle horrible vacance tu as passer ! Ils éclatèrent de rire tous les deux.

        -Non tu ma manqué évidement mais c’est passer très vite, je l’avoue

        -Et bien je suis heureux, de te retrouver, et de voir que tu t’ais bien amusé, mais maintenant il faut dormir demain il y a de l’école. Il l’embrassa sur le front et ce dirigea vers la porte.

        -Papa.

        -Oui mon ange ?

        -Je t’aime !

        -Moi aussi je t’aime. Il éteignit la lumière et referma la porte.

 

        Une fois la première semaine d’école redémarré, la routine repris son cours. Jules partait le matin, aux alentour de sept heure trente, soit direction les bureaux de la dépêche marseillaise pour finir d’écrire son article, soit dans divers endroit ou évènement qui susciter l’intérêt d’une parution dans le journal. Becky préparait le petit déjeuné de Laly, puis la déposé a l’école. Une fois de retour elle faisait ces devoir puis jouet un peut ou lisait une aventure de sa princesse favorite. Jules rentrait généralement avant dix huit heure trente, puis ils dinaient, et Laly allait se coucher pour huit heures. Marion était de plus en plus présente, et l’entente entre elle et la fillette c’était nettement améliorait depuis la croisière. Un soir Laly revint avec un message important, la représentation du spectacle, de la chorale de l’école, aurait lieu le vendredi 22 juin.

 

        -Il faut que vous soyez la tous les trois ! dit la fillette. Car j’ai un solo, et je ne veux pas que vous ratier ça.

        -Un solo ? mais sur quelle chanson tu ne m’en as pas parlé ? interrogea son père.

        -C’est une surprise il faudra venir pour le savoir ! Répondit la fillette avec malice.

 

        Après la représentation de la chorale, un grand repas convivial était organisé par l’association de parents d’élèves, et ils y avaient réservé quatre places. Laly était très impatiente d’être au jour J, c’était la première fois quelle serait mis en avant devant un public, et un mélange de stresse et d’excitation bouillonnait en elle. Plus la date approchée et plus elle doutait de sa capacité a chanté seule devant un si grand public. Mais le fameux vendredi arriva bel et bien. Une répétition générale était prévue dans la journée, et quand Becky vint la rechercher, La fillette était un peu plus sereine. Elle gouta puis partis se préparer. Elle avait choisi une robe blanche, ces cheveux était relâché, et surtout elle n’avait pas oublié de mettre le bracelet qu’elle avait reçu à noël.

 

        -Tu est magnifique ma chérie ! Lui dit Jules lorsqu’elle redescendit !

        -Oui tu es très belle, mais ton bracelet c’est peut-être un peu trop ! Lança Marion.

        -Je l’ai mis comme sa maman sera un petit peut la avec moi.

 

        Personne ne repris sur les mots de la jeune fille, et a 18H ils partirent en direction du grand théâtre de la verdure, près du château. Laly rejoignit ces camarades et ses trois spectateurs, prirent place sur les chaises disposées devant l’estrade. Le récital commença. Divers chants, et diffèrent artistes furent interprété. Mr le professeur de Hugues Aufray, Des ricochets de Collectif Paris Africa, Aux champs Elysée de Joe Dassin, Armstrong de Claude Nougaro, et bien d’autre. La représentation touchée à sa fin et Laly n’avait toujours pas fait de solo. Le directeur repris le micro pour présenter la prochaine chanson.

 

        -Comme toutes bonnes choses ont une fin, notre spectacle également. Les enfants vont vous interpréter la dernière chanson. Elle resonne tout particulièrement pour l’une de nos élèves et elle va nous chanter certains couplet seule, elle va s’avancé, je vous demande d’applaudir Laly Granger. Elle sorti du groupe sous les applaudissements du public, et se plaça auprès du directeur qui continua sa présentation. La chanson est de Melissa M. et s’appelle, Elle !

 

        Le directeur se retira laissant Laly seule face au public et ces camarades derrière elle, La musique commença Les élevés fredonnèrent l’aire, et Laly commença à chanter

 

        - Elle est mon âme, elle est mon cœur, elle est ma flamme, mon bonheur c'est celle qui m’a donné la vie elle fait partie de moi,
elle est mon sang, elle est mes yeux, elle est mon ange le plus précieux, c'est celle qui m'a donnée, la vie elle fait partie de moi

 

Tous les élèves reprirent avec elle

 

        - Elle est tout ce que j'ai de plus cher au monde, ma raison d'être, ma raison de vivre, près d'elle je serais jusqu'à la dernière seconde,
c'est elle que j'aime elle est ma vie

 

        Puis Laly repris seule

 

        - Elle est mon ombre, elle et ma voix, elle est mon or, elle est ma voix, c'est elle qui m'a donnée la vie, elle fait partie de moi, elle est ma chance, elle est mon souffle, mon existante et plus que tout, c'est elle qui m'a donné la vie, elle fait partie de moi

 

        Tous les élèves reprirent à nouveau

 

        - Elle est tout ce que j'ai de plus cher au monde, ma raison d'être ma raison de vivre, près d'elle je serais jusqu'à la dernière seconde,
c'est elle que j'aime, elle est ma vie

Elle est mon âme, elle est mon cœur, elle est ma flamme, mon bonheur, c'est celle qui m'a donnée, la vie elle fait partie de moi, elle est mon sang, elle est mes yeux, elle est mon ange le plus précieux, c'est celle qui m'a donnée la vie, elle fait partie de moi,

Elle fait partie de moi

Elle fait partie de moi

Elle fait partie de moi

 

A la Fin de la chanson, de chaudes larmes coulais sur les joues de la jeune fille. Le public était debout, pour applaudir vigoureusement les élèves, et surtout Laly, car étant dans un petit village, tous connaissaient la vie de la jeune fille, et savait bien qu’elle avait était privé de sa maman. Dans le centre des spectateur, Jules remplis d’admiration, et d’amour pour sa fille, n’avait pu, lui non plus retenir ces larmes. À sa droite Becky applaudissait vigoureusement, sans prendre la peine d’essuyée ces joue humide de larmes. Et à sa gauche Marion, applaudissait machinalement comme le reste des spectateurs mais, sans émotions particulières. Une fois les chanteurs redescendus de l’estrade, Laly rejoignit sons père et les deux jeunes femmes.

 

        -C’était magnifique ma chérie, tu as très bien chanté !

        -Merci papa, et vous, vous avez aimé ? demanda-t-elle aux deux jeunes femmes près d’elle.

        -Oui c’était très beau ! répondirent elle en même temps.

 

        Ils passèrent le reste de la soirée, autour des tables qui avait été aménager pour le repas. Soit assis pour discuter, pour les adultes, soit à jouer et courir dans tous les coins pour les enfants. Une fois rentrée Laly monta se brosser les dents, et se préparé à ce couché, une fois blottis sous sa couette Jules vint l’embrasser.

 

        -Tu as vraiment très bien chanter ma chérie !

        -Tu crois que maman m’a entendu de là-haut ?

        -J’en suis persuadé, et je suis sûr qu’elle est très fière de toi. Il embrassa sa fille très tendrement. Aller bonne nuit ma petite vedette ?

        -Bonne nuit papa !

        Il ne fallut pas longtemps à notre petite cantatrice pour s’endormir. Le stress, l’émotion, l’excitation, et l’heure tardive eurent vite raison d’elle. La journée du lendemain était déjà programmée depuis plusieurs semaines. Car elle allait chez Clémentine pour fêter son anniversaire. Le 18 juin tombant un lundi, elle avait choisi ce samedi-là pour rassemblée ces amis. Clémentine n’avait pas prévu de jeux en particulier, elle préférer, une fois tout le monde présent, choisir collectivement des jeux qui plaisent à tous. Vers seize heure trente, ils dégustèrent le gâteau au citron que Isabelle, avait confectionné. La jeune fille reçus ensuite les cadeaux que ces amis lui avaient apportés. Laly était impatiente qu’elle ouvre le sien. Car elle avait réussi a trouvé un exemplaire neuf, du tout premier album, de Lara Fabian, leur chanteuse préférer, le seul qui manquait à la collection de son amie. Clémentine pris enfin, dans ces main le paquet rose et jaune en question. Et quand elle découvrit le cd, elle sauta au coup de son amie pour la remerciée. Laly repartis vers dix-sept heure trente avec Becky, et pus lui raconter, que son cadeau avait eu la joie escomptée de l’intéressée.

 

Le lundi suivant à l’école, tous parlé encore du concert du vendredi, et de la prestation de Laly. Clémentine et Valentin eux même était admiratif de la jeune fille. Ils lui répétaient qu’ils auraient été incapable de le faire. Déjà de chanter seule devant tout le public, mais en plus, pour elle, l’émotion du sujet de la chanson, c’était vraiment courageux. Laly était ravie de recevoir tous ces compliments, et répété que c’était sa maman de là-haut qui lui avait donner du courage.

 

        Les jours passaient, et les grandes vacances approchées. C’est à la fin de la dernière semaine, que les bulletins du dernier trimestre étaient rendus, ainsi que les décisions de passage en classe supérieur. Les trois amis n’étaient pas trop inquiets, mais redouter les appréciations de Mm Nicole, leur maitresse. Et sans trop de surprise, les trois bulletins indiquer que le travail était très correct, mais qu’il fallait faire, un gros effort sur le bavardage. Jules était fière que sa fille est de bon résultat, mais il ne fallait pas qu’elle freine ses effort l’ors de son passage en Ce2.

 

        Les vacances commencèrent avec le climat provençal. Chaleur sèche, très lumineux, des odeurs de lavandes et de romarin, des journées à la plage ou dans les calanques, et surtout le retour des cigales. Laly aimait beaucoup cette période, qui incité, à souvent manger sur la terrasse, jouer dehors avec ces amis, et de passer quelques jours chez les uns les autres. Juillet se termina et Aout arriva. Enfin, pensa Laly car étant le mois de son anniversaire c’était son mois préféré après décembre bien entendu. Car noël était tellement plus festif, et conviviale, qu’il passer avant toutes les autres fêtes de l’année.

En 2003 Amanda, avait particulièrement souffert en fin de grossesse, car la canicule avait fortement frappé la France, et les températures, en journée frôlé les 40°, mais ne descendait pas en dessous de 26/28° la nuit. C’est le 21, de ce chaud mois d’aout, que Laly montra le bout de son nez.

 

Jules, laissa le soin à Becky d’organisé, avec l’aide de l’intéressée, l’anniversaire avec ces copains, copines. Ils décidèrent d’organiser un ballon prisonnier, une course en sac et après le gâteau une bataille d’eau. Clémentine et Valentin avait était les premiers à être invité, mais en tous il se trouvaient une dizaine. L’avantage des grandes vacances c’est qu’il n’est pas besoin d’attendre d’être samedi pour organiser son anniversaire. C’est donc ce mardi 21 que la fêtes était prévue. Un grand soleil était même de la partie. Une fois tous ces camarades arrivés, les jeux s’enchainèrent dans la bonne humeur, le gâteaux suivis avec la distribution des cadeaux. Elle reçut, des livres de contes, spécial princesse et chevalier, une figurine de Veronica la princesse, un jeu de société le loup garou, et autres jouets. Le gâteau a la banane, le fruit préférer de Laly, fut partager les boissons distribuées, et la bataille d’eau pus commencée. Comme la fillette en avais parlé des l’arrivée des invités, et que la chaleur était insoutenable, tout le monde n’attendait que sa depuis le début de l’après-midi. Chacun avait soit des petits ballons remplis d’eau, des pistolets, des gobelets, des récipients en plastiques, et des points de ravitaillement avais était placé à divers endroits du jardin. En moins de vingt minutes ils étaient tous trempés, mais ravis et les éclats de rire le démontré bien. Les invités repartirent les uns après les autres, et Laly aidât Becky à tous ranger.

 

Le soir, pour son repas d’anniversaire, Marion avait été invité. C’est vers dix neuf heure qu’ils s’installèrent dans les fauteuils et canapé du salon de jardin pour prendre l’apéritif. Une fois que chacun avait son verre a la main, ils trinquèrent et Laly reçu ces cadeaux. Elle commença par celui de Marion. Il était rectangulaire relativement plat Laly soupçonné que ce soit un livre. Elle déchira le papier jaune et bleu, et découvrit un livre de la collection la grande imagerie sur les châteaux fort.

-Ton père m’a dit que tu aimais tout ce qui concernait les princesse et les châteaux.

-Oui c’est vrai. Dit-elle, sans préciser que l’histoire de la construction d’un château, ne faisait pas partie de la liste de ces préférences. Elle ouvrit ensuite celui de Becky. Le paquet étais très moue et n’avais pas vraiment de forme, il était dans un papier rose recouvert de princesses. Elle déballa soigneusement et découvrît une robe assai légère dans un tissu doux, de couleur rose pâle. L’absence d’étiquettes indiqué que la nourrice avait elle-même fabriquée cette robe.

-Merci Becky elle est magnifique ! dit aussitôt la jeune fille, plein de reconnaissance.

-Tu l’essaiera tout a l’heure, pour que l’on vérifie qu’elle taille bien !

 

Elle termina par celui de son père. Comme elle était de nature très curieuse, mais qu’elle aimait aussi faire durer le suspense. C’est donc en prenant tous son temps, qu’elle ouvrit le paquet enveloppé de papier multi colores. Au bout de quelques instants, elle découvrit un petit carton qui ne donner aucune information sur son contenu. La curiosité de la fillette repris le dessus, elle ouvrit précipitamment le couvercle, mais avec déception elle ne vit que des petits cubes de mousse de couleurs, qui servait à protéger quelque chose de fragile. Elle plongeât sa main à l’intérieur, mais elle avait beau touiller elle ne s’entait rien.

-Tu me fait une farce, il est vide ton carton ! dit elle a son père. Avec une pointe d’agacement, de malice et d’amusement.

-Non regarde bien ton cadeau est bel et bien à l’intérieur ! répondit Jules avec un sourire amusé.

 

Laly décida d’employé les grands moyens. Elle retourna le carton sur la petite table qui se trouvé devant eux. Tous les cubes de couleurs s’éparpillèrent, mais visiblement rien d’autre ne sortis du carton. Surprise la jeune fille regarda l’intérieur du carton qui était visiblement bien vide.

-il n’y a rien ! dit-elle interloqué.

-Cherche bien ! Répondit son père très amusé

 

Elle reposa le carton regarda l’intérieur et se mis à soulever les deux pans du fond, et c’est là qu’elle découvrit, malicieusement scotché une enveloppe. Elle la prit et l’ouvris précipitamment pour y découvrir une place de concert de Lara Fabian sa chanteuse préférer. Les yeux pleins de larmes de bonheur elle sauta au coup de son père pour l’embrasser et le remercier. Le repas se déroula dans la bonne humeur, jusqu’à ce que la fraicheur de la nuit tombante, ne leurs facent débarrasser la table et rejoindre leurs lits. Le lendemain matin, avant même de prendre le temps de déjeuner, Laly téléphona à Clémentine, pour lui dire quel cadeau, elle avait reçu de son père. Mais avec un grand étonnement, son amie lui avoua qu’elle était au courant, depuis déjà presque deux mois, car elle avait reçu, le même cadeau de ces parents, pour son propre anniversaire. Et qu’elle avait reçu pour consigne, de garder le secret. La fillette n’en voulut pas à son amie, au contraire sa joie était encore plus grande, de savoir qu’elles iraient ensemble voir le concert Le Vendredi 2 Novembre.

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